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La famille doit bientôt emménager dans un logement social, une petite maison individuelle à côté de l’école. (…)

Ancien peintre, Nazir Alabass espère trouver du travail chez un artisan. « Mais il faut d’abord que je parle français », insiste-t-il. Avec sa femme, il se rend deux fois par semaine à des cours de français à Muret, la grande ville voisine. Norah Alabass, elle, se prépare à accueillir un cinquième enfant, en juillet. Un voile fleuri entoure son visage fatigué.

Le Monde

Merci à Michel

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