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Le tribunal jugeait hier un réseau très doué de Brésiliens et de Cap-Verdiens

Des esthètes du faux, des princes de la copie, des maîtres dans l’art de fabriquer des papiers utiles. On a parfois baptisé cela “la filière cap-verdienne”, mais force est de reconnaître que la filière était aussi brésilienne. Les contrefacteurs en chef avaient pour mission de confectionner de vrais-faux documents portugais.

Les papiers permettaient aux intéressés de se maintenir sur le territoire français, de travailler, d’y obtenir des droits au chômage ou des prestations sociales. Et les faux ont fonctionné à merveille. Au moins quelques années, jusqu’à ce 2 octobre 2014 où Pôle Emploi a alerté la police aux frontières (Paf) au sujet d’une carte d’identité portugaise suspecte.

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La Provence

Merci à Pythéas

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