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FIGAROVOX/CHRONIQUE- Gilles-William Golnadel juge insupportable le deux-poids, deux mesures qui touche l’extrême gauche française, systématiquement excusée de ses excès et de son passé dans cette campagne.

Question simple, empirique: quel camp politique, quel versant idéologique incarne, aujourd’hui, la brutalité et l’intolérance?

Qui, dans les meetings électoraux, organise des concerts de casseroles, des jets d’oeufs et de farine? Qui empêche les candidats d’accéder à leur salle de conférence?

Réponse: la gauche. Celle qui se réclame de la liberté et de la démocratie universelle

Qui souhaite la mort d’un président démocratiquement élu au suffrage populaire? Réponse: Laurent Ruquier, préposé d’une chaîne du service public audiovisuel et Guy Bedos, artiste et moraliste. Tous deux très attachés à la gauche et à la démocratie universelle.

Qui conteste dès le lendemain les résultats des consultations populaires, aussi bien en Grande-Bretagne, aux États-Unis, en Serbie, qu’à Notre-Dame des Landes? Réponse: la gauche et l’extrême gauche, extrêmement attachées à la volonté populaire.

Qui, en permanence, aura toujours trouvé toutes les excuses sociales à la délinquance ou au terrorisme le plus aveugle?

Réponse: la gauche, furieusement opposée à la peine de mort.

Les questions qui précèdent et leurs réponses frôlent la banalité tellement elles sont indiscutables. Elles étaient à la disposition de la droite démocratique et modérée, qui n’en a pas fait un usage immodéré.

J’aurai passé mon temps à la supplier de mener offensivement le combat culturel, politique et médiatique qui lui était offert sur un plateau.

Cette semaine encore, les exemples ne manquent pas qui montrent les occasions perdues.

La droite futile n’a toujours pas compris que l’anticommunisme était le plus sacré et le plus utile des antitotalitarismes.

[…]

Le Figaro

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