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“Mieux vaut être migrant que sans-abri français” (pour bénéficier d’aides), “les étrangers volent le travail des Français”, “les allocations chômage n’incitent pas à la reprise de l’emploi”, “la protection sociale coûte beaucoup trop cher et ne sert à rien”: autant de phrases stigmatisantes que les associations comptent démonter.


“Les chômeurs ne veulent pas travailler”, “les pauvres sont des fraudeurs”: excédées d’entendre certaines idées reçues relayées par des responsables politiques, une cinquantaine d’associations luttant contre la précarité lancent une campagne, jusqu’à l’élection présidentielle, pour démonter ces préjugés.
Deux collectifs regroupant 51 associations (ATD quart monde, Croix rouge française, Emmaüs, etc) venant en aide à quelque 4 millions de personnes, se sont unis pour lancer une “autre campagne” et opposer aux stéréotypes entendus la réalité qu’ils observent sur le terrain.
“Mieux vaut être migrant que sans-abri français” (pour bénéficier d’aides), “les étrangers volent le travail des Français”, “les allocations chômage n’incitent pas à la reprise de l’emploi”, “la protection sociale coûte beaucoup trop cher et ne sert à rien”: autant de phrases stigmatisantes que les associations comptent démonter. Il s’agit d'”affronter directement les candidats qui les relaient”, a expliqué Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre. […] Le Figaro

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