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[…] L‘échec de l‘éducation prioritaire est pointée du doigt. Mise en place en 1982, elle visait à donner plus de moyens aux écoles des quartiers démunis. Elle concerne aujourd’hui un millier de collèges, 8000 écoles et un élève sur cinq en France.

Dans l‘école de Véronique Decker, à Bobigny (93),tous les élèves appartiennent à des familles issues de l’immigration et en difficulté sociale. Bien que son établissement soit classé “Éducation prioritaire”, elle dit que peu de moyens supplémentaires lui ont été affectés. Le mauvais classement de la France ne la surprend pas.[…]

Il n’y a pas d‘égalité  entre les différentes écoles publiques puisque l’État français accepte qu’il y ait sur son territoire, des quartiers de relégation dans lesquels du coup, l‘école du quartier se retrouve à être une école ghettoïsée,” affirme-t-elle.[…]

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