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10/11/2016

France TV Info

La police des Alpes-Maritimes annonce mercredi 9 novembre, via son compte Twitter, avoir arrêté sept personnes dans la matinée, dans le cadre de l’enquête sur l’agressions de passagers d’un TER le samedi 5 novembre. Il s’agit de sept adolescents, âgés de 14 à 17 ans, d’après France Bleu Azur. […]


06/11/2016

Tout s’est passé très vite en gare de Cannes-Ranguin. Vers 18h30, une bande de jeunes s’engouffre dans une rame, armée de gaz lacrymogènes. Ils gazent les passagers, les frappent puis les insultent avant de prendre la fuite.

Trois voyageurs sont blessés, les usagers sont inquiets. “On se demande si on va pouvoir continuer à prendre le train d’une manière sereine”, explique une vieille dame. La semaine dernière, plusieurs contrôleurs ont été agressés sur cette même ligne. Le syndicat CGT SNCF dénonce la multiplication d’incidents sur le département. Contactée, la direction de la SNCF n’ a pas souhaité s’exprimer. Une enquête est en cours pour comprendre l’origine de cette nouvelle agression et en identifier les auteurs.


05/11/2016

Il est arrivé en gare de Cannes-Ranguin à 18h30 samedi soir. Le train n°86048 venait de Vintimille et se dirigeait vers Grasse. Lorsqu’il a ralenti pour effectuer son stop à Ranguin, les passagers ont vu une bande d’adolescents arriver en courant sur le quai.

Des jeunes hommes – une dizaine – armés de bombes lacrymogènes, sont entrés dans un wagon et se sont mis à gazer et frapper les passagers tout en lançant des insultes. L’agression n’a duré que quelques minutes, les adolescents sont repartis en courant en direction d’un jardin à proximité.

Ils ont laissé trois passagers légèrement blessés soit à cause des gaz lacrymogènes, soit par les coups des jeunes délinquants. Ces passagers-là ont donc été transportés à l’hôpital des Broussailles. […]

Certains témoins mettent en relation cet assaut avec l’interpellation de deux jeunes Grassois mercredi dernier pour l’agression d’agents ferroviaires. Ils voyaient dans l’agression de Ranguin, une mesure de représailles.

Var Matin

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