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(…) Selon nos informations, l’expression « tué à l’arme blanche » a en effet été imposée formellement aux journalistes de France 2 comme de France 3 (une « décision de la chaîne venant d’en haut » et transmise par consigne orale). La consigne était impérative : ne pas employer le terme « égorgé » mais « tué à l’arme blanche ». Cette autocensure a deux conséquences. La première est d’édulcorer le réel, de taire un élément essentiel de l’information. Non le prêtre n’a pas été poignardé, il a bel et bien été égorgé dans un rituel propre aux islamistes. La dimension symbolique du geste, incroyablement violente, a été occultée volontairement. (…)

Observatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique

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