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C’est surtout par des groupes de jeunes réfugiés que se sentent harcelés de façon croissante les patrons de bar, les riverains, les gérants des bordels et les prostituées. “Les Allemands n’osent plus venir dans les boîtes et les bordels”, déclare une entraîneuse qui attend les clients devant la porte. Dans son établissement, les réfugiés n’ont pas le droit d’entrer. “Ils arrivent, commandent de la bière et du sexe, et injurient les femmes”, dit-elle. Les réfugiés sont maintenant également interdits d’entrée dans d’autres bordels du quartier. Là où ce n’est pas le cas, les gérants courent le risque de voir partir les prostituées. […]
La police a certes confirmé qu’il y avait un lien entre les débordements et l’afflux des réfugiés. Mais, selon son porte-parole Olef Petersen, les conflits ne rentrent pas dans le cadre des délits prévus par le droit pénal.[…] Il se souvient : “L’an passé, la “maison aux trois couleurs” a dû fermer un temps, parce que trop de réfugiés se pressaient dans les couloirs.” Petersen confirme aussi que ce groupe de personnes manifeste “une grande agressivité verbale”. D’après son expérience, “beaucoup vont dans les maisons closes pour mater les femmes à demi nues”. Une prostituée confirme : “Ils viennent pour reluquer et pour tripoter.” Selon Petersen, le problème a été pratiquement réglé par l’interdiction d’entrer faite aux réfugiés dans la plupart des bordels. Petersen : ” Les vigiles privés ne les laissent plus rentrer.”
(Traduction Fdesouche)
Stuttgarter Zeitung

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