Fdesouche

Freddy Eeckeman travaille à Calais. Le jeudi 4 août, il a dû faire face à plus de 200 migrants munis de bâtons. Résultat : plus de 2 597 euros de réparation sur sa voiture

Pendant plus de 20 minutes, les migrants tapent sur les voitures

[…] Le 4 août dernier, 5 h 30 du matin. Ce Cappellois se rend au travail à Blériot-Plage. Convoyeur de fonds, Freddy Eeckeman est habitué au danger. Mais ce qu’il voit ce matin-là le marque. « À hauteur de Transmarck, j’ai dû ralentir. Les migrants avaient installé des barrages avec des arbres. Le poids lourd que je suivais ne s’est pas arrêté et a foncé. Je voulais profiter de cette ouverture… c’était sans compter sur les migrants. Cagoulés et arrivant par centaines, ils faisaient barrière avec leurs corps. » Pendant près de 20 à 25 minutes, munis de leurs bâtons de plus d’un mètre, épais de 15 à 20 cm de diamètre, « ils se sont mis à taper les voitures à l’arrêt. Si mon collègue, avec qui je fais du covoiturage, ne m’avait pas empêché de sortir, je ne serais plus là », assure Freddy Eeckeman, la gorge nouée.

[…] Il a d’ores et déjà commencé à monter un dossier comprenant photos et témoignages d’autres victimes des agressions des migrants. Et il n’est pas le seul à se mobiliser. Sur les réseaux sociaux, la même volonté est affichée par d’autres internautes.

Le Phare Dunkerquois

Fdesouche sur les réseaux sociaux