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Etranger, vous étudiez dans un lycée français et souhaitez étudier en France ? La bourse Excellence-Major de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) peut vous aider. Chaque année, 500 candidats prétendent à la bourse, seuls 200 sont retenus.
Le 29 juin dernier, la galerie de la Paix et le Salon de l’horloge du quai d’Orsay, siège du ministère des Affaires étrangères, ont accueilli la cérémonie de sortie des boursiers Excellence-Major de l’AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger). «Vous avez été sélectionnés parmi les plus brillants des lycées français du monde» a souligné le directeur de l’AEFE Christophe Bouchard dans un discours à l’attention des élèves excellence-major sous l’œil avisé de Jean-Marc Ayrault, ministre des Affaires étrangères.

(Jean-Mar Ayrault et la promotion 2016 au Quai d’Orsay)
Chaque année, ils sont 200 bacheliers étrangers issus du réseau des lycées français du monde entier à devenir boursiers excellence-major. Triés sur le volet par l’AEFE (Agence pour l’enseignement français à l’étranger) et le ministère des Affaires étrangères, ces élèves désireux de poursuivre leurs études en France peuvent bénéficier grâce à la bourse Excellence-Major: d’un financement pour leurs études, d’un accompagnement personnalisé, d’un logement en résidence universitaire et d’une place dans un établissement français de renom. Pour pouvoir y prétendre trois critères majeurs sont pris en compte: avoir un excellent dossier scolaire, un projet d’orientation en France ambitieux et cohérent, et obtenir une mention très bien ou bien au bac. Chaque année, 500 candidats prétendent à la bourse.
Où étaient scolarisés Ségolène Royal, Élisabeth Guigou, Jodie Foster, Mika ou encore … Chantal Goya ? Dans un lycée français de l’étranger. Aujourd’hui, pas moins de 494 lycées français dans le monde accueillent 336 000 élèves dans 136 pays différents. Et 30 000 élèves de première et terminale passent le bac chaque année. Les cours sont essentiellement en français. Les programmes sont les mêmes que ceux de la métropole. Le but: permettre aux enfants d’expatriés français de suivre un enseignement conforme au système français. Chose étonnante: 60% des élèves sont étrangers. «La diplomatie éducative est une des missions principales de l’AEFE dans le but de contribuer au rayonnement de la langue et de la culture françaises», selon l’AEFE, qui ajoute: “Eduqués dans un système français, ces élèves étrangers peuvent promouvoir au mieux la culture et la langue tricolores dans leur pays d’origine.” . […] Le Figaro

Merci à Romain-Guillaume de Mastarte

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