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À la veille du quart de finale France-Islande, à Reykjavik, les Islandais sont en liesse. Depuis quelques semaines, le pays s’est transformé en terre de football. En ce début juillet, il fait moins de 10°C. “On est un peuple coriace, on doit survivre à ces conditions difficiles“, confie une habitante. Avec ses 300.000 habitants, l’Islande ne compte qu’une centaine de joueurs professionnels, mais proportionnellement, deux fois plus de licenciés qu’en France.

Dans un centre de formation de la banlieue de Reykjavik, tous les jeunes joueurs se rêvent professionnels. Pour eux, la clé du succès du football islandais repose sur la spécificité même de leur île. “On devient plus fort quand on s’entraîne à la dure. On est les Vikings”, lance un jeune joueur.

Depuis 10 ans, malgré tout, les infrastructures ont beaucoup évolué. L’Islande s’est dotée de terrains couverts et de pelouses synthétiques : une révolution dans la pratique du football dans l’archipel. Depuis trois semaines, sans surprise, la capitale fête ses joueurs, déjà élevés au rang de héros de la nation.

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