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La vidéo avait fait le buzz, jusqu’à l’étranger. Le 31 décembre dernier, alors que les Bruxellois s’apprêtent à réveillonner, un groupe de jeunes décident de festoyer d’une manière pour le moins inconsciente et risquée. Ceux-ci parviennent à faire pénétrer une voiture dans la station de métro Clemenceau à Anderlecht avant de la faire basculer dans les escaliers.

La vidéo avait fait le buzz, jusqu’à l’étranger. Le 31 décembre dernier, alors que les Bruxellois s’apprêtent à réveillonner, un groupe de jeunes décident de festoyer d’une manière pour le moins inconsciente et risquée. Ceux-ci parviennent à faire pénétrer une voiture dans la station de métro Clemenceau à Anderlecht avant de la faire basculer dans les escaliers.
La petite citadine verte atterrit plusieurs mètres en contrebas, sur les quais du métro, dans un grand vacarme, comme l’a montré la vidéo filmée par un smartphone. La séquence sera partagée sur Facebook des centaines de milliers fois.
Fort heureusement, aucune personne ne sera blessée. Mais de l’avis d’agents de la STIB, une rame est entrée en gare moins de deux minutes après l’incident que révélait la RTBF. On est donc passé à deux doigts d’un bilan plus sérieux.
Alibis à vérifier
Six mois après les faits, l’enquête a progressé, d’une certaine manière. Le parquet de Bruxelles annonce aujourd’hui à la RTBF que “plusieurs personnes ont été identifiées, interpellées et auditionnées”. Ensuite ? Celles-ci ont été “relaxées”.
“L’enquête se poursuit en vue d’identifier d’autres auteurs et en vue de vérifier les alibis de certains suspects”, précise le parquet du procureur du Roi de Bruxelles. Celui-ci ajoute avoir ouvert une information judiciaire concernant ce dossier et non une instruction.
Pour rappel, le lendemain des faits, les commentaires avaient été très nombreux sur les réseaux sociaux pour évoquer cet incident. D’autant que le même soir, toujours à Anderlecht, un sapin de Noël planté sur la place était incendié par plusieurs jeunes.
Fabrice Cumps (PS), bourgmestre faisant fonction le soir du réveillon, avait qualifié d’intolérables les deux événements. “Ce genre d’actes empoisonne la vie dans les quartiers et ils doivent être sanctionnés”, avait-il encore ajouté.
Impunité
Aujourd’hui, Eric Tomas (PS), bourgmestre en titre, espère que “la relaxe ne sera pas synonyme d’impunité. Ce qui serait terriblement désespérant. Ce n’est pas parce qu’il pourrait s’agir de mineurs qu’il ne faut pas sanctionner ou se tourner vers les parents. Je suis de ceux qui pensent que dans les bêtises des jeunes, il y a quelque part une responsabilité des parents”.
La petite citadine verte atterrit plusieurs mètres en contrebas, sur les quais du métro, dans un grand vacarme, comme l’a montré la vidéo filmée par un smartphone. La séquence sera partagée sur Facebook des centaines de milliers fois.
Fort heureusement, aucune personne ne sera blessée. Mais de l’avis d’agents de la STIB, une rame est entrée en gare moins de deux minutes après l’incident que révélait la RTBF. On est donc passé à deux doigts d’un bilan plus sérieux.
Alibis à vérifier
Six mois après les faits, l’enquête a progressé, d’une certaine manière. Le parquet de Bruxelles annonce aujourd’hui à la RTBF que “plusieurs personnes ont été identifiées, interpellées et auditionnées”. Ensuite ? Celles-ci ont été “relaxées”.
“L’enquête se poursuit en vue d’identifier d’autres auteurs et en vue de vérifier les alibis de certains suspects”, précise le parquet du procureur du Roi de Bruxelles. Celui-ci ajoute avoir ouvert une information judiciaire concernant ce dossier et non une instruction.
Pour rappel, le lendemain des faits, les commentaires avaient été très nombreux sur les réseaux sociaux pour évoquer cet incident. D’autant que le même soir, toujours à Anderlecht, un sapin de Noël planté sur la place était incendié par plusieurs jeunes.
Fabrice Cumps (PS), bourgmestre faisant fonction le soir du réveillon, avait qualifié d’intolérables les deux événements. “Ce genre d’actes empoisonne la vie dans les quartiers et ils doivent être sanctionnés”, avait-il encore ajouté.
Impunité

Aujourd’hui, Eric Tomas (PS), bourgmestre en titre, espère que “la relaxe ne sera pas synonyme d’impunité. Ce qui serait terriblement désespérant. Ce n’est pas parce qu’il pourrait s’agir de mineurs qu’il ne faut pas sanctionner ou se tourner vers les parents. Je suis de ceux qui pensent que dans les bêtises des jeunes, il y a quelque part une responsabilité des parents”.
RTBF.be

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