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(…) Dans un témoignage publié par le Washington Post, le jeune père de famille explique que sa femme et lui ont fait le choix d’adopter des enfants n’ayant pas la même couleur de peau qu’eux, puis de recourir au don d’embryons surnuméraires [NDLR : des embryons prévus pour une fécondation in vitro mais finalement pas utilisés].
Si Aaron et Rachel ont construit une famille multi-ethnique, c’est par conviction religieuse. Tous deux chrétiens évangéliques, ils se définissent comme « Pro-Life » (pro-vie) et ont voulu que leur famille reflète leurs convictions : pour Aaron, l’adoption est la conséquence naturelle de la position pro-vie. Il a vu cette intuition personnelle confirmée par leurs difficultés à concevoir un enfant.
Lorsqu’il a effectué les démarches d’adoption de leurs deux aînés, le couple a spécifiquement demandé à ce que les bébés ne soient pas caucasiens. Les enfants blancs étant plus rapidement adoptés aux Etats-Unis, Aaron et Rachel ont préféré accueillir un bébé plus « vulnérable ».
Les Halbert considèrent que la diversité ethnique de leur famille est une richesse : “la beauté d’une famille multi-ethnique réside dans le fait que les différences enrichissent et complètent nos vies. Cela te pousse à revoir ta manière de penser, de parler, d’agir et de vivre” (…)

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Merci à cathyB

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