Le 13 avril 1994, une semaine après le début du génocide au Rwanda, Jean-Damascène Rutagungira a vu toute sa famille massacrée dans l’église de son village de Kabarondo (est). Vingt-deux ans après le génocide du Rwanda, il s’apprête à témoigner à Paris contre le bourgmestre (maire) de Kabarondo de l’époque et son prédécesseur, jugés à partir du 10 mai pour leur participation présumée au génocide.
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