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À la veille de la parution de son livre “Penser l’islam” en Italie, le philosophe a accordé un entretien au “Corriere della Sera”. Extraits en avant-première.

Onfray, président en 2017 ? “Impossible, répond le philosophe. Je suis un homme seul et sans parti, sans argent et sans réseaux.” Onfray, président en 2017 ? “Impossible, répond le philosophe. Je suis un homme seul et sans parti, sans argent et sans réseaux.

Je trouve sidérant que notre élite journalistique et mondaine, intellectuelle et parisienne, si prompte à traiter de sexiste quiconque refuse d’écrire professeure ou auteure, n’ait rien à dire au viol de centaines de femmes par des hordes d’émigrés ou d’immigrants, comme on ne dit plus, car le politiquement correct impose migrants“, répond-il alors que le journaliste lui demande quelle a été sa réaction aux agressions sexuelles du 31 décembre, à Cologne.

“La France a renoncé à l’intelligence et à la raison, à la lucidité et à l’esprit critique. Houellebecq a raison : nous vivons déjà sous le régime de la soumission.”

[…]

Interrogé sur le terrorisme islamiste, le philosophe répond que “la responsabilité des décennies de bombardements occidentaux” et celle d’une “attitude belliqueuse de l’islam ancrée dans le Coran” ne s’excluent pas. “L’occident a tué 4 millions de musulmans depuis la première guerre du Golfe et le Coran invite à la guerre contre les infidèles. Ce mélange détonnant produit la situation dans laquelle nous nous trouvons.

Un islam de la paix et un islam de la guerre trouvant également leur justification dans le Coran, peut-on espérer une victoire de l’islam de la paix ? Onfray n’y croit pas. […]

Le Point

Merci à renard31

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