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C’est chaque fois la même chose: dès les premières explosions à Paris, les figures autorisées de la vie médiatique ont commencé leur sermon: surtout pas d’amalgame entre l’islam et l’islamisme!

Alors qu’elles n’ont pour la plupart pas lu une ligne du Coran, elles ânonnent que l’islam est une religion de paix et que ce serait verser dans l’intolérance que d’oser nuancer cette affirmation.

Les morts gisaient encore sur le plancher du Bataclan qu’elles en rajoutaient: ce que nous devons redouter, c’est moins de nouveaux attentats qu’une réaction «populiste». On doit moins craindre les balles que la peur. Elles invitèrent nos sociétés à se garder de la tentation «islamophobe», qui consiste, on l’aura compris, à regarder l’islam autrement qu’avec des yeux de Chimène.

Peut-on néanmoins en finir avec l’entreprise de culpabilisation des peuples occidentaux? Peut-on se délivrer du désir pervers de se vouloir à tout prix coupable du mal qu’on subit? Surtout, est-il possible, devant ceux qui n’en finissent plus de faire le procès de l’Occident, de répondre simplement: non coupable.

La faute à la France ?

Certains poussèrent même l’odieux jusqu’à mettre sur le même pied les «isla­mophobes» et les islamistes ou les «populistes» et les «terroristes». L’essentiel, c’est de créer une équivalence entre ceux qui attaquent et ceux qui se défendent pour se placer en surplomb, au nom d’un pacifisme moralisateur flattant leur sentiment d’être absolument vertueux.

Les belles âmes ont continué: certes, on doit pleurer les morts et vomir les assassins, mais la France en particulier et l’Occident en général ne l’ont-ils pas un peu cherché? N’ont-ils pas récolté ce qu’ils ont semé? Qui sème la guerre et l’exploitation récolte le djihad. En gros, les morts sont moins les victimes des assassins de l’État islamique que de leur propre gouvernement.

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Merci à jiji84

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