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Pas d’inflexion dans la politique migratoire: dans son discours devant le Congrès réuni à Versailles, lundi 16 novembre, le président François Hollande n’a pas remis en cause l’accueil de 30.000 réfugiés annoncé début septembre.

Un soulagement pour les militants d’une France terre d’asile, qui redoutaient une marche arrière de la politique française – déjà très timide et tardivement engagée – après l’annonce par la Place Beauvau de la découverte d’un passeport syrien près d’un kamikaze qui s’était fait exploser près du Stade de France.
Le chef de l’Etat a rappelé au contraire que ceux qui fuient la Syrie ou l’Irak sont aussi des victimes de l’Etat islamique (EI).
Depuis plusieurs mois, certains s’inquiétaient que des terroristes n’infiltrent ces entrées massives en Europe. Elles auraient pu entraîner un pas en arrière de la France. D’autant que l’opinion publique n’a pas suivi l’engagement du gouvernement. […] Source

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