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Depuis le début des frappes en Syrie, la France, à l’instar de la Grande-Bretagne, invoque la « légitime défense » pour agir et insiste sur le fait que l’opération a pour cadre légal l’article 51 des Nations unies qui stipule qu’un Etat peut intervenir s’il « est l’objet d’une agression armée ».

Or « toute la question réside dans ce qu’on entend par “agression armée”, un concept ambigu », notait au moment des premières frappes en Syrie, fin septembre, le président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme Patrick Baudoin. Selon cet avocat, la France se réfugie derrière une « interprétation extensive de la notion d’agression armée » en se fondant sur « le fait qu’il existe des camps d’entraînement de combattants djihadistes susceptibles de mener des actions armées sur le sol français ». (…)

Le Monde

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