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Article de Juliette Pousson, journaliste au Nouvel Obs ventant les bienfaits de l’arrivée massive des “migrants et réfugiés”.

Contrairement aux migrants économiques, les réfugiés intègrent plus difficilement le marché du travail, précise Jean-Christophe Dumont, chef de la division chargée des migrations internationales à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Alors que la France s’apprête à recevoir plus de 24.000 réfugiés supplémentaires en deux ans, les économistes s’accordent pour dire que l’immigration ne constitue pas un danger pour l’économie des pays d’accueil. Bien au contraire.

Les réfugiés coûtent au pays d’accueil. Mais seulement au début. Au long terme, ils permettent de créer de l’emploi et de pousser les natifs vers des métiers qualifiés, donc mieux payés, pointent les économistes. […]

Mais le coût est dérisoire !, estime Thibault Gadjo, directeur de recherche au CNRS. “Bien sûr que l’on peut payer les conditions d’accueil des réfugiés. Les Français sont capables de donner 45 milliards d’euros chaque année à la Française des jeux, alors on ne va pas se ruiner en dépensant 10 milliards d’euros pour les migrants.

Le budget nécessaire à l’accueil des réfugiés devrait selon eux être perçu comme un investissement.A long terme, ils seront comparables aux migrants économiques et ils apporteront une contribution nette fiscale. C’est-à-dire qu’ils paieront plus de taxes et de cotisations sociales qu’ils ne recevront de prestations annuelles“, explique Jean-Christophe Dumont. L’immigration aurait alors un impact positif sur la croissance. […]

Autre idée reçue bien ancrée en ces temps d’économie en berne : les migrants risqueraient de voler des emplois aux Français.La réponse est bien évidemment non ! Le taux d’emploi des natifs n’est pas dégradé par l’arrivée des migrants puisqu’ils ne sont pas en concurrence“, affirme Thibault Gadjo. […]

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