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25/08

La compagne de l’étudiant soupçonné d’avoir commandité l’assassinat d’Éva à Toulouse témoigne pour la première fois. “Dangereux, non. Violent, encore moins et armé, non. Guillaume est calme, patient, attentionné. Enfin rien de tout ça“, affirme la jeune femme sous couvert d’anonymat.

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08/08

Dissoudre le corps, et faire croire au départ d’Éva

Zakariya, pas encore 19 ans, bachelier mention bien à 16 ans, étudiant math sup – math spé à Fermat, voulant poursuivre ses études de math à Paul Sabatier, et Taha, venu de son Maroc natal ayant préparé son entrée à l’école d’élève ingénieur à l’INP-ENSEEIHT, filière électronique. Sans succès mais poursuivant ses études en mathématiques à l’université Paul-Sabatier. Les maths comme passion commune, la drogue comme poison commun. Le troisième homme, Guillaume, 23 ans, enfant adopté d’origine vietnamienne, élève durant trois années à l’ISEG de Toulouse, annoncé comme le « donneur d’ordre », nie ce fait. S’il avoue avoir trempé dans les trafics de stupéfiants, il rejette le rôle du chef de cette mafia.(…)

Source

Merci à Deuterium et à Martin


07/08

On en sait davantage concernant le meurtre d’Eva, cette étudiante toulousaine retrouvée morte dans une malle dans son appartement. Il s’agirait d’un règlement de compte sur fond de trafic de drogue. La jeune étudiante de 23 ans aurait été assassinée dans la nuit du dimanche 26 juillet au lundi 27 juillet.

Un coup de poing américain et un pied de biche auraient été employés pour tabasser la victime, finalement décédée des suites d’une fracture au crâne.

Après le meurtre, deux étudiants auraient tenté de faire disparaitre le corps de la victime. Comme ils l’avaient vu dans la série américaine “Breaking Bad”, ils ont acheté de l’acide pour dissoudre le cadavre. Au total, trois hommes et une femme ont été interpellés.

Comble de l’horreur, selon Coté Toulouse, les deux hommes seraient revenus tous les jours sur les lieux du crime pour «pour nettoyer, voler des objets et vérifier l’état d’avancement de la dissolution du cadavre».

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