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La Grande-Bretagne peut être fière de son degré de tolérance dans différents domaines. Précisément, c’est cette attitude qui a permis de construire notre société multi-ethnique avec succès alors même que l’immigration a atteint des niveaux records sans précédents.

Mais il existe un danger que cette même dite tolérance ne transforme en lâcheté dès lors qu’il s’agit de lutter contre des coutumes et traditions pratiquées par certaines minorités ethniques. Dans la sphère politique, la peur d’être accusé de préjugés raciaux envers une communauté peut tout simplement créer un réflexe de déni, où même les plus dures réalités sont ignorées et certaines vérités passées sous silence. C’est exactement ce qu’il s’est passé en l’espèce avec le scandale des abus sexuels de Rotherham commis par des Pakistanais sur plus de 1400 mineures anglaises.

Depuis trop longtemps, il y a toujours eu une certaines réticence à dénoncer la propagation de l’extrémisme radical. En 2007, la chaine de télévision Channel 4 en avait fait les frais puisqu’elle avait réalisé un reportage sur les imams radicalisés prêchant la haine dans les mosquées de Birmingham. La police du West Midlands avait alors demandé à ce que les réalisateurs de l’émission soient poursuivis pour incitation à la haine raciale.

Il existe à ce jour un autre sujet tabou également caché à la connaissance du grand public. Une coutume ancestrale de mariages entre membres d’une même famille pratiquée dans les communautés musulmanes. La récurrence touche particulièrement les mariages célébrés entre cousins germains. Cette tradition originaire du Cachemire au Pakistan est toujours suivie à la lettre par les familles de migrants venant de cette région et cause des conséquences tragiques avec en particulier un taux élevé de retardés mentaux victimes de troubles génétiques.

Cette nouvelle vient d’être dénoncée par la Baronne Flather, première femme de l’histoire d’origine indienne à siéger à la Chambre des Lords. Il y a un mois elle a déclaré “Il y a beaucoup trop d’enfants handicapés dans cette communauté que cela en devient épouvantable. Si vous allez dans une des ces familles, vous pouvez être sûrs que parmi quatre ou cinq enfants, un ou deux souffrent d’un trouble mental”.

Effectivement nous avons tolérés l’importation d’une tradition médiévale qui n’a pas sa place dans nos sociétés modernes. Le terme “consanguinité” est certes difficile à entendre mais c’est pourtant la description exacte de ce qui se passe ici en Grande-Bretagne au 21ème siècle en dépit de tout ce que nous savons déjà sur la génétique.

Les chiffres sont édifiants dans les régions à forte population musulmane comme Bradford par exemple où une enquête de 2011 a constaté que 70 % des femmes pakistanaises s’étaient mariées avec une personne appartenant à leurs familles.
Une autre étude toujours réalisée dans la région de Bardford a démontré que 37 % des bébés d’origine pakistanaise avaient des parents qui étaient cousins germains. Il n’est donc guère étonnant que plus de 6 % de tous les enfants nés dans cette ville souffrent soit de cécité, surdité ou troubles neuro-dégénératifs.

Rien que le fait que d’énoncer ces vérités risque de provoquer l’ire des gens dits “politiquement corrects” qui refusent de prendre en considération tout ce qui pourrait entraver leur utopie fantaisiste basée sur le multiculturalisme.

Traduction FDS résumée du Daily Mail

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