En Finlande, les élections législatives ont porté l’opposition à la première place. Le parti conservateur du Premier ministre sortant Alexander Stubb n’est arrivé qu’en troisième position. Ce sont donc les centristes et leur leader Juha Sipilä qui mènent les négociations, mais ils ne pourront pas gouverner seul.
Avec ses 38 sièges, le parti des Finlandais, la formation populiste et eurosceptique a de fortes chances d’intégrer l’équipe gouvernante. Lors des élections de 2011, elle avait déjà obtenu 19% des voix, mais les autres partis lui avaient barré l’accès au gouvernement à cause d’un discours trop violent sur les thèmes de l’immigration et de l’aide à la Grèce ou au Portugal. Après quatre ans d’efforts pour polir son image, le parti est-il devenu fréquentable ?
Avec ses 38 sièges, le parti des Finlandais, la formation populiste et eurosceptique a de fortes chances d’intégrer l’équipe gouvernante. Lors des élections de 2011, elle avait déjà obtenu 19% des voix, mais les autres partis lui avaient barré l’accès au gouvernement à cause d’un discours trop violent sur les thèmes de l’immigration et de l’aide à la Grèce ou au Portugal. Après quatre ans d’efforts pour polir son image, le parti est-il devenu fréquentable ?
