Fdesouche

Yves Daram, Ancien commissaire principal de police, ancien directeur de la police municipale de Nouméa, conseiller municipal non-inscrit à Cavaillon, relate la “mésaventure” arrivée à une dame âgée d’une soixantaine d’années dans la ville d’Apt (12 000 hab), dans le Vaucluse, accusée de “racisme” par des réfugiés syriens .

La scène s’est déroulée il y a quelques jours à Apt, dans le Vaucluse. Une petite dame, la soixantaine, sort son petit chien en fin de journée. Elle ne s’éloigne pas de son HLM. Nous sommes en fin de journée. Tout d’un coup, elle reçoit sur la tête une pluie de détritus (mégots, cotons-tiges, lingettes usagées). Elle regarde vers les fenêtres qui la surplombent. Elles sont toutes fermées sauf celle du quatrième étage. Il n’y a pas de témoins à proximité et la petite dame bougonne sur cet incivisme puis remonte vite chez elle.

Le surlendemain, elle reçoit à son domicile la visite d’un individu qui se présente comme étant un médiateur de la mairie. D’un ton autoritaire, il lui signifie qu’elle aurait tenu des propos racistes à l’encontre des locataires du quatrième étage, qui sont des réfugiés syriens. À quel moment ? Quels propos ? Le préposé de la mairie ne rentre pas dans les détails et lui fait savoir qu’une plainte a été déposée contre elle (par qui ?) et qu’elle sera convoquée par la gendarmerie d’Apt. Indignée par cette attitude et cette accusation totalement infondée, la petite dame s’exclame « Dans mon pays, la France, on ne vide pas ses ordures par la fenêtre » et claque la porte au nez de l’intrus.

Inquiète, tout de même, elle interroge un employé chargé de la propreté. « Ah, ma bonne dame, cela ne m’étonne pas, ce n’est pas la première fois que je ramasse des détritus à cet endroit», lui répond celui-ci d’un air blasé.

Que pensez-vous qu’il arriva ? La petite dame a été convoquée toutes affaires cessantes à la gendarmerie d’Apt pour répondre d’une plainte de la mairie d’Apt à son encontre pour « propos racistes à l’encontre des réfugiés syriens ». […]

Quand je lui demande si les gendarmes sont intervenus dans son HLM, elle me répond en pleurant : « Ah, monsieur, si vous saviez : il y a des dealers partout. Il y a quelque temps, une rafale de kalachnikov a été tirée au bas de l’immeuble. Il y a encore des trous dans le mur. »

Souhaitons que nos amis gendarmes aient le temps d’enquêter sur ces trafics de stupéfiant.

J’atteste de la vérité des faits ci-dessus relatés.

Source (Merci à natacha 3)

Fdesouche sur les réseaux sociaux