Fdesouche

D’un côté, l’élite blanche. De l’autre, les Noirs et les métis, abonnés aux métiers les moins qualifiés. Plus d’un siècle après l’abolition de l’esclavage, le pays reste profondément inégalitaire. Même s’il répugne à le reconnaître.

“Nous, racistes, mais comment pourrions-nous l’être ? Nous sommes tellement mélangés !”

Tel est le genre de réaction qu’on provoque immanquablement quand on tente d’évoquer la question avec un Brésilien. Il suffit pourtant de se promener à Rio ou à Sao Paulo pour s’en convaincre :

les inégalités raciales sautent aux yeux. Le Brésil est très clairement une société à deux vitesses.

Suite et commentaires sur Fortune

Fdesouche sur les réseaux sociaux