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” On sent que l’auteur tâtonne en terre étrangère ; qu’il s’interdit tirades, bons mots, raisonnements trop sophistiqués. Sa prose y gagne encore en limpidité, mais sa pensée y parait corsetée. Il nous décrit audacieusement la lente transmutation de la jeune fille sensible et délicate de Domrémy en un guerrier farouche, jamais assoiffé de sang, mais qui se met peu à peu à aimer le fracas des armes et la fureur des combats. Une transfiguration qui plairait sans doute à nos adeptes forcenés de la théorie du genre, si ceux-ci n’étaient pas souvent aveuglés par leur détestation du christianisme et de la France…”

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Merci à La Fronde

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