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Avoir une première dame pour marraine représente un bel atout pour les ONG et l’assurance d’une aura internationale. Engagée aux côtés de quatre grandes associations – Secours populaire, France Libertés, Action contre la faim, ELA – Valérie Trierweiler avait assuré continuer sa mission, en quittant l’Élysée après sa séparation avec François Hollande.

Mais depuis la parution de «Merci pour ce moment», cette marraine est devenue encombrante et difficile à gérer comme le révèle le Parisien Magazine dans une enquête à paraître ce vendredi.

Une bonne marraine est « une personnalité qui a la sympathie du public et qui mène sa carrière sans tapage et sans faire d’erreurs » décrypte Antoine Vaccaro, président de Faircom, une agence qui aide les ONG à lever des fonds. Mais avec 70 % d’opinions défavorables, Valérie Trierweiler ne fait plus figure de profil idéal.

(…) Le Parisien

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