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[Edito de Leo McKinstry, Daily Express. Partiellement traduit]

Alors que nous sommes confrontés à la perte de notre identité nationale et à une transformation sans précédent de notre tissu social, la classe politique britannique déclare avec arrogance que l’immigration massive ne présente que des avantages : elle enrichit notre culture, elle galvanise notre économie, elle stimule nos finances publiques.

Cette semaine a apporté une nouvelle preuve de la détermination du lobby pro-immigration à tromper l’opinion publique. Ces idéologues , se basant sur un rapport du Centre de recherche et d’analyse des migrations, prétendent que l’immigration a permis une contribution nette de quelque 20 milliards de livres sterling aux finances publiques pays.

On pouvait s’y attendre, les pom-pom girls de l’immigration de masse et la diversité culturelle ont du mal à contenir leur joie. C’était une nouvelle arme dans leur attirail de désinformation. (…) Mais lorsqu’on consulte le rapport dans son intégralité, les illusions progressistes se brisent comme du verre.

Le rapport révèle en effet cette vérité accablante : entre 1995 et 2011, la différence entre ce que les immigrés non-européens ont couté et ce qu’ils ont apporté à l’économie équivaut à la somme faramineuse de £ 118 000 000 000 (118 milliards) de prestations sociales et services.

Un chiffre qui démolit le mythe soigneusement construit et délibérément trompeur de la “contribution financière essentielle” des immigrés. Loin d’aider nos finances nationales, l’immigration massive d’étrangers représente un gouffre financier.

Cette catastrophe économique est aggravée par les bouleversements sociaux induits par l’immigration massive, comme l’extrémisme musulman ou l’explosion de la criminalité étrangère.

Dans un pays où des gangs de prédateurs pakistanais peuvent violer en toute impunité des jeunes filles blanches vulnérables, où un soldat peut être abattu dans une rue de Londres par les djihadistes nés ici, les concepts mêmes de britannicité et de solidarité sociale sont en train de s’évanouir.

De nombreux Britanniques se sentent désormais étrangers dans leur propre pays. La véritable histoire de l’ouverture des frontières, c’est celle de la destruction d’une nation, et non celle du fantasme creux du progrès économique.

Express co.uk

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