Fdesouche

Dans la série : “Quand les baudruches se dégonflent”, voici le tour de Barack H. Obama. Celui qui avait été présenté quasi-unanimement comme le nouveau messie, sacralisé par la couleur de sa peau, se révèle un piètre président des Etats-Unis. Les élections de mi-mandat ont en effet confirmé ce mercredi matin la défaite du parti démocrate au Congrès. (…)

Se souvenir de l’hystérie des obamaniaques français. En 2008, ils soupçonnaient de racisme quiconque critiquait le consternant rappel à la couleur de peau du candidat démocrate, le noir étant vu comme la démonstration suffisante de ses compétences et de ses vertus.

“América is black” jubilait Le Monde, tandis que les médias ne juraient plus que par le “métissage”, dans une fascination racialiste de l’homme parfait.

Or, comme l’a dit ce matin Bernard Tapie sur RTL à propos du procès en racisme ouvert contre Willy Sagnol, : “Il faut avoir le droit de dire qu’un noir est un con quand c’est un con. Pareil pour un blanc”.

Obama ne méritait pas d’être encensé comme il le fut, aux prétextes qu’il était métis et qu’il avait également une ascendance musulmane. D’autant que sa main tendue aux frères musulmans et à “l’islamisme modéré” a révélé, chez lui, une naïveté dont les adeptes du califat, aujourd’hui en phase ascendante, ont su prendre la mesure.

Reste l’idéologie antiraciste, et sa troublante préférence pour les noirs et les métis…

Figaro

Fdesouche sur les réseaux sociaux