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[article recomposé à partir de trois sources] 

La commune suisse de Hagenbuch, 1000 habitants, se retrouve asphyxiée économiquement : elle est dans l’obligation d’entretenir une famille de réfugiés africains composée d’une femme et de ses sept enfants. Originaire d’Erythrée, la famille pourrait coûter 700 000 francs (suisses) par an à la localité, soit près d’un tiers de ses revenus.

Les prestations sociales couvrent les frais de la vie quotidienne (nourriture, blanchiement), le placement de 4 des 7 enfants dans un orphelinat, les loisirs, et une équipe de travailleurs sociaux qui s’occupe de la famille six heures par jour et six jours sur sept.

Le maire déclare : “je n’ai pas d’autre choix que d’augmenter les impôts locaux”. Les habitants du village sont outrés par le montant démesuré des prestations sociales.

Détail des prestations mensuelles :
• 4 enfants pris en charge par l’orphelinat : 36.000 CHF (francs suisses)
• Travailleurs sociaux (25 jours par mois, 6h/jour), soins divers : 20.000 CHF
• logement : 1.500 CHF
• “bien-être”+ entretien : 2.600 CHF

Daily Mail (en anglais) – Blick (en allemand) – Le Temps

——- Autre version, traduite de Russian Time ——

Un petit village suisse situé dans le canton de Zürich vraiment en colère contre une famille de réfugiés. La raison ? Dans l’optique de subvenir aux besoins d’une mère de famille originaire d’Erythrée et ses sept enfants, la municipalité veut augmenter les impôts locaux.

A peine 1000 personnes habitent dans le petit village de Hagenbuch. Ils devront pourtant via leurs impôts verser la somme de 60.000 Francs suisses par mois à la famille immigrée. Le journal Blick a estimée que cette somme représente 5 % d’augmentation de taxes par contribuable.

“Je ne sais pas comment faire autrement. Je pense que nous n’avons pas d’autre choix que d’augmenter les impôts ” a déclaré au journal local madame le maire Thérèse Schlaepfer. Elle a néanmoins convenu qu’il est anormal que les immigrés n’aient que des “droits à…” et pas “d’obligation à…”.

La femme érythréenne et ses sept enfants a emménagé dans le paisible petit village il y a trois ans, avec un visa lui permettant de séjourner en Suisse pendant cinq ans dans un premier temps plus une possibilité d’extension de durée plus tard. La municipalité s’est donc engagée à prendre en charge la totalité du loyer familial mais également à verser 2600 Francs suisses par mois à la famille pour subvenir aux besoins quotidiens.

Mieux encore, des employés municipaux aident la femme immigrée à faire ses course, la cuisine et le nettoyage.

Une vieille dame a donc déploré à la presse “nous sommes en quelque sorte un peu comme sa femme de ménage. Il est anormal que nous ayons à nettoyer son appartement. Franchement elle pourrait le faire elle même. Elle n’a rien à faire de toute sa journée”

Cette affaire tombe juste après le scandale d’un responsable de la police de Berne parlant de “Negerbubli” ( voir ici ) au sujet des immigrés de race noire. Le journal Blick a estimé qu’un tel lapsus ne devrait pas arriver surtout venant de la part d’un haut responsable fonctionnaire.

Traduction FDS de RT

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