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Après les réfugiés syriens et maliens, la capitale fait face à un autre phénomène avec les Subsahariens venus notamment du Niger. Alger est-elle en passe de devenir une zone de fixation des migrants subsahariens ? C’est la question que se posent de nombreux Algérois qui assistent impuissants à l’arrivée de flots de parias venus aussi bien d’Afrique subsaharienne que de Syrie.

Une femme accompagnée de ses deux petits enfants se désole de ne pas pouvoir prétendre à un travail puisqu’ils sont en situation clandestine.

Des vieux, des vieilles, des femmes avec bébés et enfants pieds nus, s’affichent dans les rues pour demander l’aumône sans dire un mot. C’est de la mendicité silencieuse. Approchés, les migrants ne disent pas grand-chose. Certains déclarent même qu’ils sont venus du grand Sahara algérien mais leur langage les trompe. Mais au fil des temps, ces derniers sont arrivés à prononcer quelques mots en arabe, afin d’influencer les passants. La majorité arrive à prononcer la phrase «Sadaka fi sabil allah» (de la charité pour l’amour de Dieu) et aussi «inana ikhoua fi dine» (on est frères par notre religion). […]

A ce jour, les autorités locales restent sans réaction devant ce phénomène qui prend une proportion alarmante et un îlot de misère est en train de se construire à petites touches sur la majorité des ruelles de la capitale.

Mais si le cas de ceux qui se définissent, à tort ou à raison, comme des réfugiés syriens ne pose pas problème en raison de leur nombre réduit, le phénomène est tout autre avec les Subsahariens venus notamment du Niger, du Tchad et qui s’entassent dans un enchevêtrement difforme, de couvertures jetées à même le sol et de haillons récoltés au gré de leur comportement à travers les rues de la ville. Selon plusieurs témoignages, les nouveaux arrivés sont dangereux et agressifs. Plusieurs personnes ont été agressées par les Subsahariens, parce que tout simplement, ils refusent de leur offrir l’aumône. Il s’agit, en effet, d’une population vulnérable et démunie qui ne cherche qu’à se nourrir. […] algerienews.info (Merci à ranelagh)

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