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Addendum 28 Avril 2014

Lors du JT de 13 de TF1 d’hier on apprend qu’après de longues heures face à la police des polices, l’un d’eux, Redouane, admet avoir eu un rapport sexuel.

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Addendum 27 avril 2014 : Deux policiers accusés par une touriste canadienne de viol au sein même du 36, quai des Orfèvres ont été mis en examen dans la nuit de samedi à dimanche dans cette affaire qui secoue l’institution.

Les deux autres hommes de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) entendus par les enquêteurs avaient été remis en liberté samedi, le premier dans la journée sans aucune charge au terme de 48 heures de garde à vue et le second dans la soirée après avoir été placé sous le statut de témoin assisté par un juge d’instruction.

(…) Le Parisien

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Parmi les fonctionnaires mis en cause, deux gardiens et un officier affectés à l’antigang ont croisé dans un bar situé en face du Quai des Orfèvres une «connaissance», fille d’un commissaire canadien. Éméchée, elle a suivi l’un des fonctionnaires au siège mythique. Le parquet a saisi mercredi l’Inspection générale de la police des polices. […]

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’affaire, encore très confuse, s’est déroulée dans la nuit de mardi à mercredi. Dans un pub irlandais situé de l’autre côté de la Seine et faisant face au siège de la PJ parisienne, les fonctionnaires ont rencontré une «connaissance de vue», cliente canadienne en villégiature à Paris. Fille d’un commissaire canadien et peut être policière elle-même outre atlantique, elle fréquentait de temps en temps l’établissement et les policiers l’y avaient déjà croisée. «La jeune femme est ressortie au bras d’un des gardiens de l’antigang qui devait repasser à son bureau pour récupérer ses clefs», confie au Figaro une source informée.

Alors qu’elle était en état d’ébriété, selon diverses sources policières, elle a suivi le fonctionnaire dans les étages, jusque dans les services de l’antigang. Sur place, le «couple» a alors croisé un deuxième policier qui allait quitter les locaux, puis un troisième qui arrivait quant à lui pour prendre lui aussi ses clefs. «A ce moment, les circonstances de la «virée» nocturne demeurent confuses» et, toujours de source policière, méritent encore d’être considérées «avec la plus extrême prudence». […]

Le Figaro

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