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Comment l’exode des Blancs a créé un Royaume-Uni compartimenté

• Les chiffres démontrent que les Britanniques blancs quittent les régions où ils sont devenus minoritaires
• Une enquête révèle la «spirale du déclin démographique de race blanche»
• Une Commission des droits de l’homme affirme que ces résultats devraient nous rendre quelque peu «perplexes»
• Près de la moitié des minorités ethniques vivent précisément là où les Blancs représentent moins de 50%
• Il ne reste plus que 800 municipalités sur 8850 où la population est à 98 pour cent blanche

Une étude a révélé que les Britanniques blancs désertaient les zones à fortes concentrations ethniques.
L’analyse de ces données recensées démontre que les Britanniques blancs quittent les régions où ils sont devenus minoritaires et sont peu à peu remplacés par des immigrés d’autres minorités ethniques.
En conséquence 4 millions de personnes vivent de façon intra-communautaire là où les Blancs représentent moins de la moitié de la population.
Demos a déclaré qu’un sondage établit une «spirale de déclin démographique des Britanniques blancs » car ceux-ci choisissent de quitter les zones où les minorités ethniques dominent de par leur nombre.

Trevor Phillips, l’ancien président de l’égalité et de la Commission des droits de l’homme, a déclaré que ces résultats devraient nous rendre «quelque peu inquiets» et n’étaient «pas de bonnes nouvelles pour la cause de l’intégration».

Il a ajouté: “nous devrions être un peu inquiets si une majorité de blancs quittent les zones dirigées par des minorités et qui de plus ne sont pas remplacées”
En 2005, M. Phillips a mis en garde que la Grande-Bretagne était «en léthargie dans la ségrégation» et que le Royaume-Uni se divisait en «ghettos» de certaines races et religions.

Sir Andrew Green, président du think-tank sur les migrations a déclaré: «C’est extrêmement grave. Cette étude est la preuve indéniable que nous avons bel et bien été manipulé dans l’isolement démographique comme Trevor Phillips nous avait averti, et il est le résultat évident de la politique d’immigration de masse du Parti travailliste.

Ce rythme de changement au sein de nos communautés explique en grande partie pourquoi beaucoup ont voté comme ils l’ont fait lors des élections locales de la semaine dernière. Les arguments en faveur d’une forte réduction de l’immigration est désormais écrasante, nous ne pouvons plus intégrer de nouveaux arrivants en raison de cette courbe actuelle.

Plus de 600.000 Londoniens britanniques blancs ont quitté la capitale en une décennie.


Les chiffres du dernier recensement démontrent que, entre 2001 et 2011, le ratio de la «fuite des blancs» a atteint 620.000 personnes. C’est l’équivalent d’une ville de la taille de Glasgow – entièrement composée de Britanniques blancs – qui se sont déplacés hors de la capitale.

Les chiffres expliquent que pour la première fois, les Britanniques blancs sont en minorité dans la plus grande ville du pays.

Dans le même temps, certaines zones rurales ont vu une augmentation de la proportion de personnes qui décrivent leur ethnicité comme étant «britannique blanche».
3,7 millions Londoniens de se sont classés en tant que britanniques blancs en 2011 – contre 4,3 millions en 2001 – en dépit d’une augmentation de la population de la ville de près d’un million d’habitants au cours de la dernière décennie
Il est désormais établi en Février que les Britanniques blancs représentaient 45 pour cent de la population de la ville, contre 58 pour cent en 2001.
Derrière les Britanniques blancs, le plus grand groupe ethnique de Londres est Asiatique (18 pour cent). Les Londoniens noirs représentent quant à eux 13 pour cent.

Demos a déclaré que ce changement était le résultat de «l’exode blanc», où au départ les Britanniques blancs ont été remplacés par des immigrés avec une croissance naturelle de cette population ethnique
Son analyse du recensement de 2011 a démontré que les 4,6 millions de personnes issues de minorités ethniques – soit 45 pour cent au total – vivent dans des zones où les Britanniques blancs représentent moins de la moitié de la population.

Ces zones comprennent Yardley à Birmingham et plusieurs autres municipalités de l’Est et du Sud de Londres, a dit Demos.
Dans le même temps, il a prouvé que les familles des minorités ethniques se déplaçaient désormais dans des parties du pays majoritairement blanches
Il y a maintenant seulement 800 municipalités sur 8850 où la population est de 98 pour cent blanche. Elles étaient 5000 en 2001.

M. Phillips a déclaré: «Ce schéma très intéressant de la recherche révèle un certain nombre de conclusions essentielles sur la façon dont les gens en Angleterre et au Pays de Galles vivent ensemble.
«Premièrement, il montre une sorte d ‘« effet Ambridge » – une avancée de minorités bienvenues dans des régions qui étaient auparavant l’apanage de la majorité blanche.»
«Il démontre également un plus grand degré de mixité ethnique dans les villes, mais malheureusement cela semble être principalement entre les minorités.»

David Goodhart, (voir notre article) directeur de Demos, a mis en lumière dans cette enquête: une population croissante qui est «géographiquement séparée» et qui a «peu de valeurs en commun avec la majorité de nos codes culturels». Il a ajouté: «La plus grande concentration de la population des minorités ethniques signifie qu’il y a moins de possibilités d’interaction avec la communauté blanche.»

Eric Kaufmann, professeur au College Birkbeck qui a effectué cette analyse détaillée, a déclaré: «Ces résultats présentent une image contrastée. Alors que le métissage et l’intégration dans les zones les plus blanches de l’Angleterre sont de plus en plus aidés, les zones à forte concentration communautaire sont juste de plus en plus grandissantes.”

Article en anglais sur le Daily Mail

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