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« Je ne m’en irai pas » : le Royaume Uni ne peut expulser un délinquant sexuel somalien en vertu des Droits de l’homme. Ahmed Hersi, Somalien sans-emploi, a coûté au Royaume Uni plus de 400 000 livres en aide juridictionnelle légale, frais de prison et allocations.

« Je ne m’en irai pas », dit-il. « Cela fait près de six ans que je suis visé par une procédure d’expulsion, dit-il. » J’ai incontestablement gagné le droit de faire réviser mon jugement. Comment puis-je être expulsé juste pour une bêtise? »

Hersi, 26 ans, est arrivé au Royaume-Uni à l’âge de 8 ans. Il vit à Small Heath avec sa famille de 20 personnes. Adolescent, il fut condamné à deux reprises à une période de mise à l’épreuve pour vol à l’étalage, puis condamné à trois ans de prison pour vol à l’arraché en 2005.

Durant son emprisonnement, les autorités ont établi un arrêté d’expulsion contre lequel Hersi a fait appel deux fois en vain.

Les services d’immigration étaient prêts à le mettre dans l’avion en 2007, mais le Somalien a porté l’affaire devant la Cour européenne des Droits de l’homme où les juges ont décrété que renvoyer Hersi dans son pays était contraire à ses droits.

L’année suivante, Hersi fut condamné pour agression sexuelle et écroué en 2011.

Cette histoire a déchaîné ceux qui font campagne pour que les cours de justice du Royaume Uni se réapproprient le pouvoir laissé aux mains de juges non élus à Strasbourg.

L’eurodéputé Gerald Batten a déclaré : « Nous ne devons pas être surpris que les criminels du monde entier soient attirés par le Royaume-Uni, vu que le gouvernement facilite leur entrée et que la Cour européenne des Droits de l’homme rend quasiment impossible leur expulsion.

Pour ajouter l’injure à l’insulte, quand nous échouons à nous en débarrasser, ils restent et vivent des allocations. »

Hier un porte-parole a déclaré : « Nous prenons toutes les mesures nécessaires pour expulser ceux qui ne respectent pas nos lois, et en 2012 nous avons ainsi fait partir 4500 étrangers.

Toutefois, l’expulsion peut être retardée quand les condamnés cherchent à contrarier la procédure ou nous attaquer sur le terrain des droits de l’homme. C’est pourquoi nous avons changé les lois, afin de compliquer la tâche aux criminels qui souhaitent contester juridiquement une expulsion. »

Express.co.uk – Merci Nesley pour la traduction et à tous ceux qui ont proposé leur version

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