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Première version :
(Merci à Nowno)
Une étude importante publiée hier avance que les enfants à qui l’on donne des leçons d’anti racisme à l’école sont plus susceptibles d’être intolérants en dehors de leur classe.
L’étude dit qu’accuser les écoliers blancs de racisme cause de l’animosité, et discuter de problèmes ethniques sensibles, comme les meurtres d’honneur, dépeint les enfants issus de ces groupes minoritaires sous une mauvaise lumière.
L’étude montre que les enfant vivant dans un quartier mélangé sont souvent dépourvus d’hostilité envers les autres groupes raciaux.
Mais ils ont découvert que « quand plus d’attention est portée en classe à la société multiculturelle, l’effet libéralisant du contact positif en classe sur la xénophobie des jeunes diminue ».
L’étude réalisée aux Pays Bas, arrive en pleine polémique sur la place du multiculturalisme – qui accuse la Grande Bretagne de racisme historique, et demande l’encouragement des minorités culturelles – dans le programme scolaire et l’enseignement des écoles anglaises.
Le ministre de l’éducation Michael Gove était soumis à des invectives d’académiciens de gauche car il projetait d’arrêter d’enseigner aux adolescents des sujets tels que « La grande diversité sociale, culturelle et ethnique de la Grande Bretagne, du moyen âge au 20eme siècle et comment cela a contribué à former l’identité britannique ».
A la place les étudiants se verront enseigner plus d’histoire britannique. L’étude, publiée dans le European Sociological Review, était basée sur une enquête auprès de 1444 élèves agés de 14 à 15 ans, dans dix écoles de la ville de Nijmegen.
Les adolescents, venant de classes et d’origines (raciales) différentes, et avec des compétences scolaires différentes, ont été questionnés sur leurs attitudes vers ceux ayant d’autres origines et sur l’enseignement du multiculturalisme dans leur école.
L’étude dit que les garçons tendent à être plus intolérants que les filles, et que l’intolérance était plus élevée chez les élèves les plus croyants ou à la plus forte identité ethnique parmi ceux d’origine turque et marocaine, et ceux aux résultats scolaires les plus mauvais.

Mais elle dit aussi que l’enseignement du multiculturalisme a un « effet négatif inattendu ». Elle ajoute : « l’impact positif du contact inter-ethnique en classe disparaît ou même s’inverse quand l’accent est mit sur le multiculturalisme pendant les cours. Discuter de discrimination et des traditions et habitudes des autres cultures pendant les leçons influence indirectement l’attitude xénophobe des jeunes ».

Le rapport ajoute que l’animosité entre groupes minoritaires pouvait être générée en discutant de sujets tels que les crimes d’honneur et l’excisionn des femmes. L’animosité pouvait aussi être causée par « une approche unilatérale agresseur-victime du racisme ».

Ces découvertes font écho aux vues du directeur de Bradford, Ray Honeyford, qui fut poussé à la démission il y a près de 30 ans à cause de ses déclarations sur le multiculturalisme dont l’enseignement serait selon lui néfaste aux élèves.

Mr Honeyford déclarait que les performances des élèves étaient entravées par « la notion du programme d’études multi racial recommandé avec insistance par les autorités, et la mise en avant de la race et couleur comme des thèmes significatif et très discutés dans la salle de classe ».
Patricia Morgan, auteur sur la famille et l’éducation, dit hier : « si vous enfoncé le nez des enfants dans leur racisme supposé, ils vous en voudront. les élèves sont accusés de choses qu’ils n’ont ni pensé ni faites.

Le multiculturalisme essaye de manipuler les pensées, croyances et émotions des enfants. Cela équivaut à de l’endoctrinement, et ça ne marche pas. C’est contre productif. Cette étude montre que quand les gens essayent de manipuler l’esprit des enfants, cela leur revient dans la figure ».

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How anti-racism lessons INCREASE pupil intolerance by ‘causing animosity to other cultures’

[Article original du MailOnline]

Dutch study finds discussing sensitive ethnic concerns can be counter-productive
Education Secretary Michael Gove under fire over plans to stop teaching teenagers about multicultural topics

By Steve Doughty, Social Affairs Correspondent

PUBLISHED: 21:05 GMT, 26 April 2013 | UPDATED: 21:28 GMT, 26 April 2013

Children who are given anti-racism lessons in school are more likely to be intolerant outside the classroom, a major study found yesterday.

It said accusing white pupils of racism causes animosity, and discussing sensitive ethnic concerns such as honour killings paints minority group children in a bad light.

The survey said children who live in mixed neighbourhoods are often free of hostility towards other racial groups.

But it found that ‘when more attention in class is being paid to the multicultural society, the liberalising effect of positive contact in class on youngsters’ xenophobic attitude decreases’.

The project carried out in the Netherlands comes at a time of controversy over the place of multiculturalism – which blames Britain for historic racism and demands the encouragement of minority cultures – in the national curriculum and teaching in British schools.

Education Secretary Michael Gove has been under fire from Left-wing academics over plans to stop teaching teenagers about topics such as ‘the wide cultural, social and ethnic diversity of Britain from the Middle Ages to the twentieth century and how this has helped shape Britain’s identity’.

Instead, in future pupils will be taught much more British history. The study, published in the European Sociological Review, was based on a survey of 1,444 pupils aged 14 and 15 in ten schools in the city of Nijmegen.

Education Secretary Michael Gove has come under fire from Left-wing academics over plans to stop teaching teenagers about multicultural topics

The teenagers, drawn from different class and racial backgrounds, and with differing academic abilities, were questioned on their attitudes to those from different ethnic backgrounds and about multicultural teaching in their schools.

It said boys tended to be more intolerant of other groups than girls, and intolerance was greatest among those with strong religious or ethnic identity, among those from Turkish or Moroccan backgrounds, and those with the lowest educational achievements.

But it said the teaching of multiculturalism had an ‘unexpected negative effect’.

It added: ‘The impact of positive inter- ethnic contact in class disappears or even reverses when multiculturalism is more emphasised during lessons. Discussing discrimination and the customs and habits of other cultures during lessons affects the youngsters’ xenophobic attitudes indirectly.’

The report added that bad feelings among minority groups could be generated by discussion of topics such as honour killings or female circumcision. Animosity could also be caused by ‘a one-sided offender- victim approach to racism’.

The findings echo the views of Bradford head teacher Ray Honeyford, who was driven from his job nearly 30 years ago over his claim that multicultural teaching was harming pupils.

Mr Honeyford said that pupil performance was hindered by ‘the notion of the multi-racial curriculum urged by the authorities, and of making colour and race significant, high-profile issues in the classroom’.

Patricia Morgan, an author on the family and education, said yesterday: ‘If you rub children’s noses in their supposed racism, they resent it.

‘Pupils are being accused of things they haven’t thought or done. Multiculturalism attempts to manipulate children’s thoughts, beliefs and emotions, it amounts to indoctrination, and it doesn’t work. It is counter-productive.

‘This study shows that when people try to manipulate children’s minds, it bounces back on them.’

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