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Pour le ministère des Affaires étrangères, le dossier des jeunes Belges le fond du problème se situe, à ses yeux, dans «

«On ne peut pas laisser dire n’importe quoi dans des lieux minoritaires. La grande majorité des musulmans en Belgique pratique un culte modéré et souhaite le faire partager à d’autres et je trouve ça très bien, c’est leur libre choix de pratiquer leur religion et de la développer».

Il a nuancé la nature des motivations de ceux-ci: «Si certains partent pour combattre aux côtés du président Assad, qu’ils soient amenés devant le Cour pénale internationale. S’ils rejoignent des groupes terroristes et djihadistes, il faudra les poursuivre sur base de la loi sur le terrorisme. (…) Mais peut-être y en a-t-il qui par idéal partent se battre aux côtés de l’armée syrienne de libération, que nous soutenons. Et on leur érigera peut-être un monument dans quelques années. Donc je souhaite qu’on ne fasse pas d’amalgame en la matière». […]

«On parle beaucoup aujourd’hui d’un phénomène, qui est lié à des mouvements extrémistes islamistes, mais il y a d’autres risques terroristes dans nos pays et il faut aussi les appréhender».

Le ministre estime qu’une vraie prévention en amont passe par un débat profond et sans tabou sur l’intégration. «». Là c’est toute une action beaucoup plus précoce à mener à l’intérieur des écoles, à l’intérieur des communes, à l’intérieur d’un débat général. Il y a un an j’avais évoqué qu’on a dans certains de nos quartiers un échec de l’intégration (Reynders avait comparé Molenbeek à l’étranger, ndlr); cela provoque quand on dit cela un tollé ». […]».

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