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[extrait d’un très long article]

Le site Internet Médiapart qualifie le livre “La France Orange mécanique” écrit par Laurent Obertone d'”exemple d’un flagrant délire sécuritaire” assurant qu’il “accumule sans aucune précaution des chiffres souvent non sourcés, erronés, et interprétés au forceps”. L’auteur de l’ouvrage répond à ses détracteurs.

Constatant que mon livre, La France orange mécanique, rencontrait un grand succès sans son autorisation, Médiapart, qui comme nombre de ses confrères misait tout sur la stratégie du silence, a décidé de passer au plan B : vomir sur le livre, à gros débit.

Il leur a fallu dix pages. À leur place, j’aurais économisé mon temps et résumé l’affaire en trois phrases.

1. Les victimes on s’en fout.
2. La réalité n’existe pas.
3. Bouquin de fasciste. […]

Ça commence fort : je suis favorable à la « vraie perpétuité », ce qui fait de moi un « ultra-sécuritaire ».

Naïvement, je croyais qu’on pouvait être favorable à la condamnation de vrais criminels à des vraies peines dans une vraie prison, comme c’est consigné quelque part dans ce grimoire obsolète qu’on nomme Code pénal. Je suis un monstre.

Pour m’en convaincre et histoire de se donner un début d’envergure, le lobby bisounours appelle à son secours une flopée « d’experts » qui, comme souvent, divisent leur prestation entre comédie et hors sujet. Pour se convaincre du sérieux des artistes, leur pedigree est à lire en fin d’article.

L’augmentation des viols n’existerait uniquement parce que les victimes se décident enfin à porter plainte (c’est le cas pour un viol sur dix). Donc Médiapart se satisfait de 200 viols par jour, chiffre qui n’est contesté par personne, et qui est sans doute considéré par ces journalistes comme une bonne moyenne historique. Bon rythme de croisière, pourvu qu’elle s’amuse. […]

Lire l’article intégral sur Atlantico
Merci à remordantain

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