Fdesouche

La député Front National du Vaucluse était plutôt esseulée au Bundestag, mardi, lors des célébrations du Traité de l’Elysée.

Les médias allemands lui avaient soigneusement préparé le terrain en affirmant « qu’aucun élu d’extrême droite n’avait mis les pieds au Reichstag depuis la période nazie ».

Considérée comme une paria dans une assemblée germanique cultivant ses distances avec l’extrême droite, sans élu allemand « binôme » issu de sa sensibilité politique, Marion Maréchal Le Pen était plongée dans une grande solitude.
« Je ne me sens pas comme une paria ici, se défend-elle pourtant. Grâce à mon travail, je donne un visage humain de notre mouvement et je suis de moins en moins ostracisée à l’Assemblée Nationale. Je ne suis pas à la tête de six millions de fachos ! Par fierté nationale je ne ressens aucune sympathie, ni de près ou de loin pour la dictature nazie. Aujourd’hui nous sommes sous domination allemande et il faut que cela cesse ».
Cependant, Marion Maréchal-Le Pen trouve au moins une vertu à l’Allemagne : son système électoral à la proportionnelle
Le Figaro

Fdesouche sur les réseaux sociaux