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Cette semaine, Gilles William Goldnadel revient sur les thèmes victimaires qui ont rythmé l’actualité de ces derniers jours.
Depuis 40 ans, la même ritournelle faussement antiraciste abrutit les oreilles et l’esprit d’un peuple intoxiqué à doses massives et permanentes. Depuis 40 ans, on ne cesse de triturer le même abcès de fixation.

 Et pourtant, insensiblement, la contre-culture de résistance que je préconisais commence à rendre ridicule les maîtres chanteurs qui exploitent sans vergogne la vieille rengaine d’après Nuremberg.

Extraits hebdomadaires de cette variation obsessionnelle sur des thèmes victimaires :
un article critique du Monde (26 octobre) autour du « racisme anti-blanc qui diviserait le mouvement antiraciste » : des citations de mon ami Pierre-André Taguieff, (qui fut, il y a une vingtaine d’années désigné à la vindicte publique antiraciste, par le même journal qui l’interroge aujourd’hui) et qui lui fait dire que la notion de racisme anti-blanc pourrait être dangereuse. Las, l’intéressé considère qu’il a été cité improprement…
À noter cette aimable plaisanterie du vespéral, décidément incorrigible : mentionner parmi les « antiracistes » questionnés, Houria Bouteldja, responsable emblématique des « Indigènes de la République » mouvement racialiste agressif s’il en est, auteur de la célèbre formule des « sous chiens », radicalement antisioniste et anti blanc, et poursuivie pour ses sorties délirantes.

Sans doute, la journaliste en est-elle encore à considérer inconsciemment que l’intéressée ne peut être, par essence, raciste.

Classer les Indigènes de la République dans la mouvance antiraciste en dit cependant long sur l’état de la réflexion Mondaine sur le sujet.
À noter que la presse consacre également plusieurs articles sur la procédure judiciaire que la Licra s’est décidée à diligenter en matière de racisme anti-blanc et sur le fait que le M.R.A.P, au rebours de SOS-Racisme, reconnaisse désormais, du bout des lèvres, le phénomène. Pour le dire autrement, ceux qui, hier encore, collectaient les fagots pour dresser le bûcher des téméraires qui osaient invoquer la détestation anti-occidentale, en sont réduits désormais à faire feu de tout bois pour ne pas voir leur barque sombrer. (…)
Atlantico

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