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En ville a l’instar des autres petits commerces les boucheries traditionnelles disparaissent des quartiers mais les boucheries rituelles comblent en partie la demande.
[…] «En 1974, lorsque je me suis installé aux Minimes nous étions treize ou quatorze, se souvient Louis Besnier, président du syndicat de la boucherie et de la chambre des métiers de la Haute-Garonne, maintenant ils ne sont plus que trois, et quatre si on compte le point viande de la supérette.»
[…] Mais la viande continue pourtant de se vendre à Toulouse.

Rares et confinés dans les quartiers d’immigration il y a encore une dizaine d’années, les boucheries Hallal font désormais partie du décor.

Et leur clientèle attirée par des prix exotiques est de plus en plus mélangée.

Combien sont-elles dans une ville où la boucherie traditionnelle perd du terrain ? Mystère : «Elles ne sont pas répertoriées à la chambre des métiers, constate son président, mais ce sont des commerces comme les autres.»[…]

La Dépêche

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