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Généreux, un retraité nantais a accepter en 2009 d’héberger pour trois jours une famille à la rue. Trois ans plus tard, les cinq personnes squattent toujours dans son appartement, et lui ont même demandé s’il pouvait partir en foyer pour libérer de la place.
Durant l’hiver 2009, le retraité de 65 ans accepte d’accueillir un couple avec deux enfants pour trois nuits. Trois ans plus tard, il ne peut toujours pas occuper la chambre de son T2, toujours squatter par la famille algérienne, qui a même fait un troisième enfant. Interrogé, René explique la situation : « Ils vivent dans la chambre, mais 9 m2, même avec la cuisine en plus, c’est insuffisant ! L’autre jour, ils m’ont demandé si je ne voulais pas aller dormir en foyer pour leur laisser de la place… »
Adepte du yoga et de la méditation, René ne veut pas engendrer de souffrances et n’ose pas faire les démarches pour régler le problème. Avec 620 euros par mois, il n’a pas assez d’argent pour faire réaliser un constat d’huissier, d’autant que les squatteurs ne participent plus aux frais qui ne s’élevaient qu’à 2,60 euros par jour.
Le Progrès

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