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Les activités vivrières ne sont plus destinées à faire partie du socle économique des pays développés: main d’œuvre coûteuse et niveau scolaire élevé limitent les vocations pour les métiers de la pêche, réputés durs, peu rémunérateurs et socialement déconsidérés.


“Les pêcheurs” – Charles Napier Hemy, 1888

Cette vision typique des « trente glorieuses » est désormais obsolète : jusqu’à ces dernières années, la hausse de la demande aquacole fut gérée par l’industrialisation de la pêche.

C’est désormais insuffisant : les besoins sont supérieurs aux capacités de la nature, ce qui entraîne une inexorable diminution des stocks pouvant mener à l’extinction des formes de vie adaptées à notre alimentation.

Face à cet effet de ciseaux nous avons réagi de quatre façons :

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