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[ Courts extraits d’un article d’Aldo Sterone, blogger algérien résidant en Angleterre (?). NDLR : Nous trouvons le texte de l’article assez inégal, mais l’idée principale qui le sous-tend mérite bien ces quelques extraits ]
Chaque peuple a reçu un bout de terre en héritage. Chaque peuple a eu la possibilité de choisir des règles de vie correspondant à sa vision du monde.(…) Il n’y a ni bien, ni mal. Tous les choix se valent. Ils sont tous disponibles au même prix, gratuitement.
Il y a des choix qui font qu’un pays prospère et d’autres qui font qu’un pays coule et devient un enfer pour ses habitants. On peut trouver une définition assez fédératrice du pays qui n’est pas prospère : quand les habitants commencent à se jeter à l’eau dans des embarcations de fortune, c’est qu’il y a un problème.
Quand après avoir exploré toutes les autres options, on décide de traverser la mer dans une barque, on s’éloigne de quoi au juste ? D’une société dont a fait soi-même partie.
On arrive vers un peuple qui dans son morceau de terre a mis en place des choix différents. Nous qui venons d’ailleurs, nous ne les comprenons pas toujours. Nous ne sommes peut-être pas d’accord avec mais ces choix ont permis de créer un pays vers lequel nous avons pu fuir et qui nous a donné une seconde chance.

Par le fait même de venir vers ce pays, nous admettons que son peuple a fait des choix plus sains que les nôtres

Par le fait même de venir vers ce pays, nous admettons que son peuple a fait des choix plus sains que les nôtres. Si on pense que les choix du pays que nous avons laissé derrière sont meilleurs, il faut être honnête et faire demi-tour pour revenir d’où l’on vient.
Beaucoup d’immigrés en Europe sentent de manière paradoxale que leur pays d’origine était parfait et cherchent à le reproduire. Ceci donne vite des quartiers, voir des villes insupportables que les gens doivent quitter à nouveau.
Emigrer, quitter un pays devenu un enfer est un droit tout comme vouloir se guérir du cancer ou du SIDA. Par contre, vouloir passer la maladie aux autres est un crime.

 Emigrer, quitter un pays devenu un enfer est un droit tout comme vouloir se guérir du cancer ou du SIDA. Par contre, vouloir passer la maladie aux autres est un crime.

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