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A Moscou, la bourse a connu un premier trimestre très prometteur. De nombreux facteurs plaident pour cette place.

Aujourd’hui, l’économie russe a de quoi séduire: un bilan solide avec des réserves de devises qui s’élèvent à plus de 500 milliards de dollars, un niveau d’endettement très bas à 10% du PIB et des réserves de pétrole très importantes, dont l’exploitation rapporte près de 1,25 milliard de dollars par jour. Un potentiel immense qui ne pourra cependant se développer sans l’arrivée massive de capitaux étrangers et qui représente, en lui-même, la principale source de risque pour le pays. Au-delà du risque de contagion d’une crise économique et financière dans les pays développés, les analystes s’accordent à pointer le pétrole comme principal risque mettant la Russie à la merci d’un choc majeur. Le mot d’ordre du nouveau gouvernement sera donc de convaincre à tout prix à l’intérieur afin de maintenir la paix sociale et un climat des affaires favorable, ainsi qu’à l’extérieur afin de séduire les investisseurs étrangers. Et l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce, entérinée à fin 2011, constitue un pas clair dans cette direction.

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