Fdesouche

Le parti de l’In-nocence prend acte avec grand regret de l’impossibilité pour son président Renaud Camus de poursuivre plus avant sa candidature à la présidence de la République, faute du nombre requis des nécessaires signatures d’élus. Il en voit la cause aussi bien dans le silence délibéré des médias sur un contempteur de leur pouvoir abusif que dans la gestion tactique et capricieuse du système de parrainages de la part des grands partis. Il estime toutefois qu’il a réalisé de grands progrès grâce à cette perspective, progrès qu’il entend poursuivre au service du pays.

Le parti de l’In-nocence déplore une fois de plus que soit à peine posée en cette échéance la question capitale pour la France du changement de peuple, ce qu’il appelle le Grand Remplacement, phénomène qu’il est convenu de n’aborder que du bout des lèvres, et en le réduisant au seul problème de l’immigration. Il juge qu’il lui est impossible, en ce moment décisif pour la patrie, de s’abstenir alors qu’il en va de la survie même de notre pays et de notre civilisation et que la situation est bien proche, même, de l’irréversible. Conscient de ses responsabilités politiques, et afin de contrer si c’est encore possible l’évolution mortifère en cours, il estime que son attitude doit être dictée par une seule considération, la volonté de résistance, telle que la désirent nombre de nos concitoyens, privés qu’ils sont de toute possibilité de dire ce qu’ils vivent, d’exprimer ce qu’il voient, de faire part de ce qu’ils subissent.

Le parti de l’In-nocence rappelle qu’un des motifs de sa propre fondation en 2002 fut l’impossibilité pour ses membres d’apporter leurs suffrages à M. Jean-Marie Le Pen, quand bien même ils lui donnaient raison sur bien des points. Il considère que les raisons de cette impossibilité principielle sont largement levées s’agissant de Mme Marine Le Pen, dont il respecte d’autre part le courage, l’intelligence et la détermination. Si à bien des thèses du Front National il n’adhère nullement, s’il éprouve de fortes réserves, en particulier, sur son programme économique, il estime que l’obstacle, en l’occurrence, est d’ordre intellectuel et pratique, pas d’ordre moral, de sorte qu’il ne le juge pas insurmontable, d’autant qu’il n’envisage en rien un ralliement à ce parti mais seulement un soutien loyal, aux côtés d’autres forces attachées au caractère français de la France et européen de l’Europe, à celui ou celle des candidats qui lui semble incarner le mieux le désir de résistance au multiculturalisme sans frontière et à la contre-colonisation.

Parti de l’In-Nocence

Fdesouche sur les réseaux sociaux