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Le juge d’instruction de Nantes Jacky Coulon a prononcé un non-lieu dans le dossier de fraudes aux prestations sociales impliquant Lies Hebbadj, son épouse, et trois de ses compagnes, a-t-on appris aujourd’hui de source judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision. “L’examen du dossier n’a débouché sur aucune preuve sérieuse à charge par rapport à Lies Hebbadj. L’essentiel des charges qui pesaient sur lui se dégonflent. La montagne a accouché d’une souris”, s’est félicitée son avocate Cécile de Oliveira.

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Lies Hebbadj était poursuivi pour “complicité de fraude pour obtention de prestation ou allocation familiale indue (allocation dite parent isolé et revenu de solidarité active majoré) par dissimulation d’une vie maritale de fait avec Sandrine Mouleres et Sonia Yaker pour un préjudice d’un montant estimé de 90.000 euros”, selon le parquet.

Sur une période allant d’avril 2007 à mai 2010, Sandrine Mouleres – verbalisée puis relaxée en 2010 pour port du niqab au volant -, et Sonia Yaker – poursuivie fin novembre dernier pour infraction à la loi sur la dissimulation du visage – ont notamment touché l’une ou l’autre de ces allocations. L’épouse légitime de Lies Hebbadj, Miriana, était poursuivie pour fraude par fausse déclaration de présence sur le territoire national ainsi que de celle de ses enfants légitimes pendant plus de trois mois, pour un préjudice d’un montant de 3426 euros. […]

Le Figaro

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