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Laurence Parisot a dénoncé une “orchestration” outre-Atlantique des difficultés de la zone Euro. Investisseurs sans scrupule, vils spéculateurs, agences de notation, eurosceptiques… Mais pourquoi cet acharnement contre la monnaie unique ? Première partie de notre série en deux volets consacrée aux responsables de la crise de l’Euro.

L’Euro n’est pas encore mort.

Depuis plusieurs mois, on a pourtant pu assister à une série d’attaques en règles, coordonnées, d’une pluie de coups donnés avec l’intention de tuer.

Le ridicule s’y était mis aussi. Les Islandais, à moitié ruinés et sombrant dans les eaux froides du nord de l’Atlantique, déclaraient qu’ils retiraient leur candidature à l’Euro. Les Tchèques racontaient à qui voulait l’entendre que le pire n’était pas passé loin : ils avaient failli adhérer à la Zone Euro. Les Finlandais faisaient comprendre à la finance mondiale, qu’ils étaient dans l’Euro, mais que si les Russes avaient proposé un rouble qui se tienne… Ainsi, en un an, tous ceux qui voulaient en être se sont mis à le fuir, et tous ceux qui viennent d’arriver se demandent s’ils peuvent rembobiner la pellicule. »

Chronologie et moyens de l’attentat anti-Euro

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