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Ancienne professeur de maths à Rascol, Christine Lavaux se dit «choquée» par l’ouverture d’un bar à narguilé à proximité du lycée. Ses créateurs lui répondent. Débat.
Sa « colère était telle » qu’elle ne trouvait pas de mots. Après notre article sur l’unique bar à narguilé d’Albi (« La Dépêche du Midi » de samedi 16 avril), Christine Lavaux a réagi « au quart de tour ».

À la fois fille, épouse et mère de profs de maths et prof de maths elle-même, cette lectrice appartient « à une famille qui s’est vouée à l’Éducation nationale. À la retraite depuis deux ans, toute ma vie, j’ai lutté contre la pipe à eau, toxique car elle contient autant de tabac qu’un paquet de cigarettes et qui montre le chemin de la drogue. Mes élèves la fumaient lors des boums.

Le narguilé est ludique, mais c’est du tabac, même si ce n’est pas la même forme. Je suis allée en voyage en Syrie. Tous les gamins fumaient la pipe à eau. C’est dans leur culture, mais ce n’est pas dans la nôtre. Pourquoi l’introduire ? […]

On en trouve une trentaine à Toulouse, où on en tenait un avant de revenir à Albi. Personne ne disait rien. Cela surprend ici, parce que c’est oriental, mais il faut s’ouvrir ! […]

La Dépêche

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