La semaine dernière, Carole s’est fait violenter dans la cour du collège. 11 jours d’arrêt de travail ont été prescrits.[….]
L’administration est plus mesurée. “C’est un acte brutal mais isolé, entraîné par le phénomène de groupe“, souligne la principale, Catherine Meunier. “Ils n’avaient pas forcément conscience de leurs actes, aujourd’hui oui. Ce sont des enfants.“
Des enfants qui, portés par leurs camarades et emportés par la violence, sont devenus, en quelques minutes, dangereux et ont commis un acte grave.[…]
On est tous indignés. Nous avons un conseil d’administration lundi et nous avons beaucoup de questions. Là, on est arrivé à une limite. On ne peut pas accepter ça. Il y a une vraie dérive et il faut vite redresser le tir, notamment en mettant des moyens. Ça sera sûrement long mais il faut s’y mettre maintenant; Il doit y avoir discussions mais aussi sanctions avec un passage en commission de discipline. C’est indispensable!” […]
(Merci à Latine)
