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François Sergent s’inquiète dans Libération de la montrée du populisme en Europe.

Le ventre est encore fécond, d’où surgit la bête immonde du populisme. De gauche comme de droite, à l’Est comme à l’Ouest. Que la Hongrie de Viktor Orbán préside l’Europe pour le premier semestre 2010 symbolise l’irrésistible montée de ces mouvements démagogiques. Il y a beau avoir autant de populismes que de pays en Europe, tous se retrouvent dans une dénonciation de l’étranger, le mépris des élites, la méfiance envers l’Etat de droit. Autant de traits contraires aux valeurs qui ont fondé l’Europe. (…)

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