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Gilles-William GOLDNADEL – Parution le 20 janvier 2011

Un brûlot sur les nouvelles formes de racisme contemporain Pourquoi le simple fait de faire allusion à la race est-il scabreux ? Pourquoi est-il de mauvais goût de faire allusion à la traite esclavagiste arabe ? Au terrorisme du FLN ? À l’irrédentisme du peuple palestinien ? Pourquoi seulement douter que l’immigration serait « une chance pour la France », est de nature à être placé sur une liste noire ? A-t-on le droit de dire du mal des Juifs ? Pourquoi peut-on être taxé de raciste ou de « facho » sans avoir, pourtant, le moindre préjugé racial et comment peut-on encourir ainsi les foudres de la classe médiatique ? Après Conversation sur les sujets qui fâchent avec l’historien Alexandre Adler, Gilles-William Goldnadel poursuit son analyse implacable du terrorisme intellectuel inhérent à l’idéologie victimaire.

Il s’attaque aujourd’hui au tabou des tabous : la détestation que subirait l’homme blanc occidental jusque dans la manifestation de son identité sociale ou nationale.

Sur un sujet qui relevait jusqu’alors, littéralement, de l’indicible, Gilles-William Goldnadel, sans complexe, explique les causes – qui remontent, selon lui, à la Shoah, et en décrit les dramatiques conséquences. Toutes les querelles modernes sont revisitées sans fard : l’identité raciale et nationale, le racisme antiblanc, l’antiracisme confisqué par le militantisme d’extrême gauche, les crimes et la détestation de l’Occident appliqués à la lecture du conflit proche-oriental.

(Merci à Julien)

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